Chez Sanaé,

Nous croyons qu’il est possible de vivre malgré tout.

Malgré le chaos.

Malgré un corps fatigué, un cœur en vrac, ou une histoire trop lourde.

Nous refusons les cases, les étiquettes, les solutions toutes faites.

Nous refusons la performance et la perfection.

Nous faisons le choix de marcher à côté. D’accompagner.

De faire de la place à la lenteur, à l’imperfection, à ce qui ne rentre nulle part.

Nous croyons que la fragilité n’est pas une faiblesse.

Qu’on peut être fatigué·e et digne, en deuil et vivant·e, en reconstruction et lumineux·se.

Et que personne ne devrait avoir à s’excuser d’être soi.

Chez Sanaé, nous n’avons pas peur des mots.

Un handicap est un handicap. La mort est la mort.

Ce n’est pas le mot qu’il faut changer,

c’est le regard qu’on porte dessus.

Nous ne cherchons pas à guérir, à réparer, à normaliser.

Nous cherchons à accompagner, à soutenir, à ouvrir des espaces.

Des espaces où le soin peut prendre mille formes :

un mot, un silence, un geste, un atelier, une main posée, un souffle partagé.

Nous croyons que le bien-être n’est pas un luxe.

C’est un besoin fondamental pour tous.

Un droit.

Nous croyons en la puissance du partage, en la valeur de l’écoute, en la synergie des approches.

Nous faisons de la place à celles et ceux qu’on met trop souvent de côté.

Nous croyons qu’on peut vivre jusqu’à la mort,

en choisissant sa façon de ressentir, de ralentir, de créer, de dire, de traverser.

Et même après la mort, quelque chose continue, pour ceux qui restent.

Une vie sans toi, sans lui, sans elle … mais une vie quand même.